« Ce que j’ai sous les yeux » est le nom de cette exposition d’art
contemporain, issue de la collection du conseil général de la Seine-Saint-Denis. Ce titre est emprunté à une vidéo de Simon Quéheillard (chapelle des carmélites), où l’artiste, à l’aide d’une
banale bouteille d’eau, fait apparaître des images sur le bîtume parisien.
Cette exposition traite de l’idée de l’évidence, de la révélation, de l’étonnement, de la beauté, de la réflexion. Elle se déploie dans quatres espaces du musée d’art et d’histoire de Saint-Denis
: deux salles d’expositions temporaires, le cloître et la chapelle des carmélites.A noter dans le cloître du carmel, la vidéo de Grégoire Bergeret qui joue sur la transparence du verre à pied. La
salle du chapitre présente Ernest Pignon Ernest et bien d’autres. Dans la tribune des mesdames, le visiteur peut découvrir les peintures abstraites bicolores de Sylvie Fanchon, les aquarelles
très sensibles d’Anne Rochette ainsi qu’une œuvre de François Morellet. Il ne faut surtour pas manquer la vidéo de Sarkis « au commencement… »qui traite de la création d’une forme colorée à
l’aquarelle, on peut y voir le geste de l’artiste.
contemporain, issue de la collection du conseil général de la Seine-Saint-Denis. Ce titre est emprunté à une vidéo de Simon Quéheillard (chapelle des carmélites), où l’artiste, à l’aide d’une
banale bouteille d’eau, fait apparaître des images sur le bîtume parisien.
Cette exposition traite de l’idée de l’évidence, de la révélation, de l’étonnement, de la beauté, de la réflexion. Elle se déploie dans quatres espaces du musée d’art et d’histoire de Saint-Denis
: deux salles d’expositions temporaires, le cloître et la chapelle des carmélites.A noter dans le cloître du carmel, la vidéo de Grégoire Bergeret qui joue sur la transparence du verre à pied. La
salle du chapitre présente Ernest Pignon Ernest et bien d’autres. Dans la tribune des mesdames, le visiteur peut découvrir les peintures abstraites bicolores de Sylvie Fanchon, les aquarelles
très sensibles d’Anne Rochette ainsi qu’une œuvre de François Morellet. Il ne faut surtour pas manquer la vidéo de Sarkis « au commencement… »qui traite de la création d’une forme colorée à
l’aquarelle, on peut y voir le geste de l’artiste.
A découvrir jusqu’au 25 janvier
au musée d’art et d’histoire de Saint-Denis