En marchant dans le très grand parc parisien, vous êtes amenés a
vous arrêter : un bosquet d’arbres capte la lumière, tout blanc. Vincent Lamouroux, pour la Biennale de Belleville, a choisi de nous surprendre dans notre promenade dans le parc des
Buttes-Chaumont. Il joue sur le caractère artificiel de la couleur blanche, couleur de la pureté, de la neutralité, mais aussi très en contraste avec les couleurs de la nature. C’est peut être
aussi une réflexion sur le côté artificiel du parc, dit paysager. Vincent Lamouroux ne se veut pas tant artiste militant écologique qu’artiste tout court ! Son propos est aussi une réflexion sur
la couleur, en tant qu’elle nous procure une sensation de plaisir visuel.
Ce projet fut à l’origine réalisé pour le Vent des forêts dans la Meuse.
Vous découvrirez l’oeuvre au hasard de votre parcours, volonté de l’artiste de ne pas nous indiquer l’endroit.
Oeuvre visible jusqu’au 20 octobre, dans le parc des Buttes-Chaumont
dans le cadre de la Biennale de Belleville, Paris