Le plasticien italien Michelangelo Pistoletto a
réalisé, cet été, pour le 104, un espace labyrinthique, fait de cartons enroulés. Il faut oser entrer à l’intérieur de cet espace quelque peu fragile mais aussi, qui semble mouvant. En réalité,
ce sont les espaces étroits, parfois en entonnoirs qui font de cet espace un lieu de crainte. On ne peut réellement savoir si l’on peut se frayer un chemin…
Une installation à découvrir jusqu’au 4 août
Entrée libre